OURGA PRINCE LIAM
Le 6 novembre de l'an 2018 restera un jour lumineux de ma vie : c'est ce jour que Frédéric Lacourbas signa ce formidable papier selon lequel je devenais le nouveau "détenteur" d'un chiot "bouledogue français" à robe "fauve bringée à panachure blanche" ]il n'y a pas si longtemps on disait "caille"] Ostilius Prince Liam dit Ourga ; c'est ce jour que son épouse Nathalie, après avoir "échangé" des léchouilles avec celui qui fut "son" chiot, me remit entre les mains Ourga, la boule de poils qui, sur le champ, me lécha tout le visage, puis se blottit contre moi. Si je l'avais adopté, il semble bien que le jeune Ourga était bien décidé à m'adopter.
Le petit chien [on dit dans ce cas le "chiot"] était magnifique sous tous les rapports : la robe, la stature, les pattes, mais surtout, chose "formidable", il était admirablement déluré, surement très intelligent, parfaitement sociable et très affectueux. Autrement dit, c'était un chien parfait, avec de magnifiques yeux très sombres, presque noirs.
Biensûr Ourga est resté affectueux, toujours aussi beau (il fait l'admiration unanime de tous ceux qu'il rencontre).
Aujourd'hui Ourga a neuf mois ; son éducation de base s'est faite sans gros problèmes malgré, parfois, une certaine "surdité" à mes propositions et dans le grand jardin (près de 800 m2 auquel il a accès de manière plus ou moins permanente, il a assimilé dans sa tête de bouledogue que faire des trous avec ses pattes, couper les brindilles des arbustes avec ses dents (autrement dit se servir desdites comme de sécateur) cela tenait de l'impossible.
Donc, Ourga est magnifique, et j'espère bien qu'il sera aussi beau (ou plus beau ?) que son père Nom de Zeus,mais le plus lumineux pour moi, c'est qu'il est mon ami et que je suis son suis son amie.
Caen, le 24-06-2019 A.A.Odartchenko